Le temps est résolu ...

Les beaux jours sont fini, L'humidité, le froid, le vent fouétant le visage, la vie est finie... La nature est morte, la joie est morte, les dernieres feuilles tombent et tapissent le sol d'un épais manteau brun qui pourira au fils du temps. C'est l'automne et déjà je sent arriver la neige, elle tape chaques soir a ma fenêtre me murmurant: N'espere plus Luci, tu es perdue à tout jamais... C'est alors que tu sombres dans un immence déspoire, nul ne pourra venir te chercher, nul ne se donnera la peine de te sauver. Galopant a toute allures sur les sols gelés, inspirant une derniere fois cette sensation de liberter... Une unique larmes roula sur ma joue avant de finir un une petite boule de glace se brisant sur le sol. J'en ai fini, cette fois-ci plus rien ne conte; je ne cherche plus rien, mon amour c'est étein et ne reviendra sans doute jamais ... adieu monde inconnu, je n'avencerais plus, je franchi la derniere marche avant de me jetter dans l'éternité. Au loin, le pond de Bourdeille, je n'avais point encore résolu cette énigme mais Camilla suivera sans doute mes traces, elle est entre de bonne mains, je ne regrette rien. La route en pavé retenti sous les fers d'orizon, le jour se levait, le village était calme. Nous étions a présent en plein centre du pond, je descendi de l'étalon, le serra une derniere fois dans mes bras pendant quelques secondes qui me parurent interminable. Sa respiration allais au ritme de mon coeur, lent, crispé a cause du froid. Je t'aime Orizon, toi seul aura eu mon regret vis ta vie comme cheval sauvage et peu être qu'un jour nous nous retrouverons de l'autre côté... Je montais sur le rebord du pond, en dessous de moi, la rivieres s'écoulait rapidement, glissant sur les nombreux rochers qui me donneront surement la mort. Quelques plaques de glaces faisaient la course a travers eux, quelle sensation aurais-je en premier ? Le froid m'envairait-il en premier ou les rochers vinqueront ? J'enlevais mon pull en laine, puis mon T-shirt, le vent me brûlait la peau, j'avais l'impression que l'on me frappais avec un fouet. Ecartant les bras t'elle a subir le dernier chatiment, je pris ma derniere respirations avant de faire un mouvement de balancier d'avant en arriere. J'en ai fini avec toi, tu ne vaut plus rien pour moi, je ne vaut plus rien pour toi alors abandonne moi ...

Hugo étais dans le taxi qui le reconduirais à Crosshill. Lorsqu'il était arrivé dans sa ville, il était directement allé au cimetière. La tombe de sa mère était bien là parmis tant d'autre avec une fleur dessus. Il avait apris que la maison de sa mère lui appartenait désormait et que ses deux frères avaient été retrouvés. Ils étaient désormais chez leurs tante. Néanmoins il était quand même resté plus longtemps que prévu pour voir la famille et passé du temps avec ses frères. Il avait décider de partir tôt pour ne pas arrivé trop tard à Crosshill. Lorsqu'il passa devant Bourdeilles, il aperçut Luci sur le pont. Ses cheveux blonds au vent, ça ne pouvait être qu'elle. Mais pourquoi était-elle à Bourdeilles? Et si tôt?
Arretez-vous s'il vous plait.
La voiture s'immobilisa tandis que Hugo ouvrait la fenêtre pour mieux voir. Luci ne l'avait pas vu, il était trop loin et elle trop concentrée sur ce qu'elle faisait. Mais que faisait-elle? C'est alors qu'il compris, sans aucun doute, elle avait l'intention de se suscider! C'était pas possible! Un coup monté, il passait justement par là! Il ouvrit la portière, déjà près à courir à sa rencontre mais...
ça c'est du grand Luci! Elle veut que j'aille la sauver! C'est clair! Elle n'est pas assez bête pour sauter! Elle fera rien du tout et moi non plus!
Luci! cria-t'il bêtement puisqu'elle ne l'avait certainement pas entendu...

J'avais fermé les yeux, plus rien ne contais, je ne faisais plus partie de ce monde, plus rien ne me retenais même plus l'amour... J'entendi des roues s'arrêter net sur la route glissante, je me revoyais là assise sur ls marches de l'école accompagnée de mes fidèles discutant des dernieres modes. Clarissa éclater de rire sur un gas qui avait loupé une marche, Nora qui, elle, écrivait tout se qu'elle voyait et moi dessinant la seine. Toutes avaient un avenir, j'avais le mien, mais je l'ai perdu. J'en ai perdu un morceau dans un inbcendie qui a prit la vie de mon ami et la grosse moitier vien de s'evoler avec le vent qui suivait Hugo... J'entendais encore sa voix, sûrement une illusion, il ne reviendra jamais me chercher. Je continuais mon mouvement de balancier, j'étais destabilisée par le vent, morte de froid aussi mais bientôt morte tout court car la porte s'ouvrait a moi, j'ai sauté...

C'est alors qu'il vit Luci sauter... ou tomber. On ne voyait pas grand chose. Il se mit à courir, toujours incertain de se qu'il avait vu. Plus il se repprochait, plus il paniquait et courrais plus vite. Il arriva sur le pont, se pencha et la vit, elle ne se débatait même pas... Luci... Il sauta. L'eau était glacée et le courant allait vite à cet endroit-ci. Il remonta à la surface et chercha Luci des yeux. Il aperçu sa chevelure à quelques mètres de là et naga du mieux qu'il pouvait malgré le courant qui l'emportait. Luci!

Ma tête eurta les rochers, l'eau était gelée et je fu vite emportée par le courant alors que je perdi connaisance.

Il nageait tant qu'il pouvait mais la perdit de vue, il plongea sous l'eau, la reperra et nagea toujours plus vite. L'eau commenca à se calmer mais Luci avait perdu connaissance et son corps était sous l'eau. Il replongea, l'attrappa par la taille et la remonta à la surface. Un filet de sans coulait sur ses mains. Il ramma jusqu'à la rive, c'était un petit chemin en campagne. Hugo n'avait aucunes idées d'où ils se trouvaient. Il déposa Luci et se coucha à coté d'elle pour reprendre son soufle. Ensuite il vérifia le pouls de Luci, elle vivait encore. Il la prit dans ses bras et marcha le plus vite qu'il pu pour remonter la rivière.

J'entrai en une sorte de transe, je ressentais les mouvements, pendants quelques ainstant, j'arretais de respirer, quelque chose bloquais mes poumons. La mort m'attendait bras ouverts, mais cependant, quelque chose me retin, on me tirrais dans l'autre sans. Pourquoi ? pourquoi me tirrait-on ? je veux mourir ! laissez-moi ! j'entendi le son accéléré d'un coeur, étais-ce le mien ? de grande respirations vinrent s'ajouter aux batements de coeur, mon corp se réchauffait je ne savais comment puis tout a coup, j'entrepris une grande respiration, comme si l'on m'avait étranglé. Je retrouva mes espris puis entrevu le visage mouillé d'Hugo. Prise de panique, je replongea dans mon sommeil et quand je me réveilla, je me retrouvais seul dans ma chambre enssouvelie sous les couvertures, le soleil se levait comme si tout celà n'avait été qu'un rêve... mais j'étais encore trempée, comment celà étais possible ?


fin topic suite a la chambre. Hugo tu le fais ?