Pleine lune au bavaroi.

Il était tard, enlacer dans les bras d'Hugo, bien au chaud dans les couvertures, la chambre était baignée d'une lumiere blanchatre; spectrale de la pleine lune, je le serais, lui homme de ma vie, homme pour qui je naquis. Il était beau, musclé, les cheveux brun auburn, un long nez fin et une machoire musclée et carée. La lune se reflétait sur sa peau douce et brune, l'homme dormait paisiblement avec dans sa peaume une partie de ma cuisse nue et chaude au contact de sa peau. Je ne trouvais pas le sommeil, j'était tellement émmerveillée par cette beauté qu'il lui avait été accordé. J'aimais tout de lui, sa voix, son corp, son caractere mais surtout son odeur. Elle est indescriptible, c'est un mélange de foin frais, d'eau de mer, de bois brûlé et d'air apres un violent orage à la fois difficile à respirer, électricte et appaisant. Il était à lui seul, les quatres éléments. De mon index ballladeur, je m'amusais à lui faire des cercles sur l'épaules, lui couché de côté, me regardant pendant son sommeil, a quoi donc pouvait-il bien rêver ? Dans le silence de la nuit, je fini par m'assoupir entrelacé dans ses bras musclés. Dans la nuit noir, il y eu un bruit, un bruit peu commun, un cri. Un cri strident, ce n'était pas une femme, ce cri je le connaissais malgré que je ne l'ai jamas entendu. Ce cri appartenait à quelqu'un qui m'était cher, a quelqu'un que je devais retrouver. J'ouvri les yeux, il était 04h27 au réveil, j'étais seule dans le lit, j'avais froid tout d'un coup; il n'était plus là, ce cri maintenant j'en était sure lui appartenait.

-Hugo, murmurais-je à moi même.

Je me redressais et vis sur la table de nuit un petit mot à l'écriture familiere.

" Je suis parti travaillé, j'ai quelque travaux à faire à terinsford,je dois être làbas pour 05h00. Tu étais tellement belle endormie, que je n'ai pas voulu te réveiller. Ne t'inquiete pas, demain midi je serais de retour et qui sais, tu ne te seras peut-être même pas rendue compte de mon absence..."

Oh si, je m'étais rendue compte de son absence. Bizarement, quelque chose me dit que je devais me lever, maintenant, que quelqu'un m'attendait, que quelqu'un aurais besoin de moi. Je me leva, enfila un jeans, un pull et mes tallon noir, tempis pour le soutien gorge, tempis pour le broching, de toute façon, la tendance du moment était effet sauvage alors quoi de plus sauvage qu'une coiffure apres réveil suite d'une nuit agitée ? j'étais au top, plus l'ombre d'un baillement, je pris ma lampe torche, descendi les escaliers, ouvris la porte et attendi. Les minutes passerent, bientot 05h00. Hugo devait être arrivé, je voulu l'appeller mais une voiture et un van vainrent s'arreter dans la cour. Je m'approchais doucement, c'étaitune très belle femme au volent, brune eux foncé, 17 ans tout comme moi. Elle avait l'air paniquée et sereine à la fois, une feme forte d'espris et pleine de surprise. La portiere s'ouvrit, et le jene femme descendi.

-Je vous attendais...

Elle avait l'air surprise de me voir et aussi surprise de ma phrase, je ne la connaissait pas, et pourtant je sentait q'une grandeamitier allait s'instaler...

En entendant cette phrase, mon coeur s'est mis a battre beaucoup plus vite. Il ne faillais pas que je paraisse suspecte. Personne devais savoir ! Personne ! je m'approchais de cette fille qui avait l'air d'avoir le même age que moi, qui avais les cheveux complétement en bataille et qui c'était habille très vite. Je lui dis tout timidement " Bonjours, excusez moi de vous déranger. Je suis nouvelle ici ". J'hésitais a lui dire mon prénom et si après elle me dénonce ? Mieux vos ne prendre aucun risque et ne rien dévoile de ma vie .

Elle paraissait enxieuse, mal à l'aise, hésitente, voilà pourquoi je m'étais réveillée, je devais l'aider.
Je lui tendi la main.

- Luci

Elle la saisi puis je me dirigea vers son van. Sans un mot, je jettais un coup d'oeil dedans, il y avait un jeune poulain en bon point mais fatigué par ce voyage. Je me retournais, elle était sur mes talons de plus en plus anxieuse.

- Votre poulain à l'air fatiguer, vous aussi d'ailleur, je peu allez voir si il reste de la place en box mais je suis sure qu'il n'en reste plus à l'hotel.

Elle était toujours aussi anxieuse que me cachait-elle ?

- Néamoins, je peu vous laissez ma chambre, je ne vais pas tarder à allez travailler vous pourrez donc avoir tout le loisir de vous doucher et dormir.
Sans attendre sa réponse, je m'en allais vers l'hotel. Puis fini par me retrouner et enfain lancer une phrase sur un ton amical qui me correspondais plus.

- Bon alors vous venez ? Ne vous inquietez pas, dés que je redescent, j'instalerais votre poulain en lieu sur.
Nous montions les escaliers sous le brouhaha des nombreux ronflements qui envahissaient le couloir.

-Ne vous en faite pas, une fois dans les chambres, on ne les entend plus.Porte 13, voilà ma chambre, excusez-moi du désordre mais la nuit fu mouvementée et plein d'imprévu. Au fait,je ne vous ai pas demander Votre nom.

Je ne pouvais pas lui dire mon prénom et je devenais vraiment anxieuse, elle a l'aller le voir. Je regardais sa chambre qui était pas si en désordre comme elle me l'avait dis. En regardant à côté du lit, sur le sol, on pouvait voir la moitie d'un soutien-gorge et des chaussette à l'envers . Après avoir bien regardez la chambre je retroune mon regard vers elle, elle me regardait toujours en me fixant. je devinais qu'elle attendait sa réponse à sa question. Mais je devais prendre aucun risque. C'est à ce moment que j'ai eu une idée, lui donner mon surnom.

Je m'appelle Eli. C'est vraiment gentil de votre part de prêter votre chambre à une simple inconnus comme moi.

Elle scrutait ma chambre, sans un mot, sans un pas. Puis elle fini par se retouner et enfain dévoiler son nom. Elle s'appelait Eli, court, simple, facile à retenir et mordern. Elle me remerciait pour la chambre alors que je trouvais celà tout à fais normal...

- Nul besoin de me remecier. Je ne sais pas si tu es de passage ou définitive mais chaque personne passant le seuil de crosshill est un ami. Que tu me sois inconnue n'est pas un problème, que tu ne veuilles pas me dévoiler tes secrets ne me dérangent pas non plus. Néamoins, si tu as besoin de moi en quoi que se sois, je suis là pour t'aider.

Je lui adressaun petit sourire, rentra dans la chambre pour prendre mon sac et ressorti sans un bruit pour laisser les gens de l'hotel dormir.

Plus je lui parler, plus cette Luci me paraissait être une personne de confiance. Avec elle, ce sentiment d’angoisse était entrain de disparaître petit à petit et sa me plaisais beaucoup. J'attendis qu'elle prenne ses affaires et je lui adressais la parole par une simple phrase Merci beaucoup . Après qu'elle sois partis sur la pointe des pied pour ne pas réveille les autres qui dormais. Je fit un plus grand tours de l'appartement et je m’aperçus qu'elle ne vivait pas seule ici et d'un coup un sentiment horrible, ce sentiment de gêne est apparut. J'allais dormir chez quelqu'un que je ne connaissais même pas . Ne voulant pas dormir dans le lit de quelqu'un d'autre sans sa permission, je me suis assise sur un petit fauteuil bien confortable pour attendre Luci. Mais je me suis vite endormis.

La porte en bois se referma doucement derriere moi, je fis quelques pas dans le couloir sombre puis je me rendi compte que j'avais oublier de lui dre quelque chose. Je fis demi-tour et toqua doucement à la porte. Toc toc toc... J'attendi qu'elle vienne m'ouvrir. Quelques ainstant plus tard la porte s'ouvrit.

- Excuse moi de t'ennuier encore ... humm tu permets que je te tutoies ? hum mais si tu veux prendre une douche, c'est en sortant dela chambre la 3 eme porte à gauche. Se sont des douche commune mais il y a des cabines. Et si tu veux déjeuner, comme le café ne seraspas ouvert ce matin, tu peux avoir à manger au restaurant de l'hotel... Voilà maintenant je vais te laisser dormir et si jamas tu veux un pyjama, tu peux regarder ce qu'il te plais dans la penderie. ET si tu veux des couvertures, des draps ou oreillés, c'est aussi dans la panderie. Bonne fin de nuit

Je refermais la porte pour de bon et descendi les escaliers pour me diriger vers la boutique.

Elle referma la porte et j'entendais ses pas dans le couloir et ensuite plus rien. J'était tellement fatigué que je n'avais pas la force d'aller prendre une douche. Je me couchais sur son lit qui était d'ailleurs très confortable. Je m'endormis assez vite jusqu'au lendemain matin