La jument fit un pas, puis un autre. De mon côté, je m'étais arrêter. Je tandis le bras et la jument le cou. Elle posa ses naseaux dans ma main. Je promenai ma main sur son encolure, son épaule, son flanc. Elle ne bbougea pas d'un poil. Je vis une corde par terre, je me baissai en douceur pour la ramasser sans quitter la jument des yeux. Je lui murmurai des paroles calmes quand je lui passai la corde autour du coup. La jument fis un brusque écart en arrière, se secoua, bougea, trépigna, mais je tin bon. Je ne voulais pas la lacher. Je pris appui sur mes bras et me issai sur son dos. Ca lui plus moins car elle commença a ruer. Bien habituée a débourrer leschevaux, ça ne m'impressionna pas du tout et je restai sur la jument en utilisant mon assiette. Je poussai la jument en avant, celle-ci s'élença en lançant des petites ruades et en se secouant. Elle était sauvage. Elle fonçait, fond de balle droit devant elle, je la laissai se fatiguer. Ca ne servait a rien de la conquérir par la force. Elle finit par se fatiguer et s'arreta. Je descendis et marchai un peu avec elle en main. Je vais la mettre dans un box a côté d'Orizon, tu viens ?