Tout ça pour dire:

Hugo était adossé au comptoire, il était 11h du matin. Le café était vide à part un jeune couple enlassé dans un coin et un homme d'âge mur, le manton mangé par une barbe naissante. Dehors, il commença à pleuvoir, de grosses goutes froides glissaient sur les vitres du bar, laissant Hugo seul avec ses pensées...

Dehors la pluie d'Ecosse se magnifestait, les goutes étaient de plus grosses et venaient s'écraser sur la grande vitre du café t'elle un oeuf laisser tombé à terre par mégarde. J'enjambais les trois marches qui reliait la cour à la porte du bar et poussais cell-ci, un carion mélodieu sonna au dessus de ma tête. Je m'essuyais les peids tout en contemplant les personnes instalées; un couple se bégotant à s'en arracher la bouche, un jeune jouant avec son portable et lui ... mon .... fils si puis-je dire... si seulement il savait, mais il est préférable qu'il ne le sache jamais et pourtant celà se révelerais utile mais aussi dangereux... Il me fixait hébaï comme s'il n'aurais jamais cru queje puisse pousser cette porte, comme s'il n'aurait jamaiscru que je puisse entrer dans son monde. Je revin dans le monde réel, je me rendi conte que j'étais planté là depuis déjà une bonne minute. Je m'avanca vers lui mais il se retourna instantanément. je pris un tabouret et lanca au "Barman"
-Un Wisky sec comme si de rien n'était...

Hugo se leva maladroitement en voyant son père entrer. Il revint à la réalité et attrappa un verre.
Salut, murmura-t'il en passant une main sur son visage. Il ne put en dire plus.

Hugo me lanca un Wisky, d'une main je l'arreta et me mis a tourné autour avec mon index. Un silence sinistre s'instala seul le bruit de baisers fougeux en arriere fond cassait l'embience... je me mis a les contemplé. Ils n'avaient tout deux pas plus de 16 ans et pourtant la demoiselle semblais avoir de l'expérience tandi que lui ... en manquais tériblement. tu crois que je peu avoir ma chance ? lancais-je a Hugo en un murumure pour que les clients ne m'entendent pas.

ça, c'était bien la dernière chose qu'Hugo s'attendait à entendre! Mais son père avait toujours été un homme très imprévisible... Compte pas sur ça, t'es plus potable. lui lanca-t'il.

tu serais bien surpris ! se si dit je me suis bien amusé hier soir un petit sourire malicieu brisait ma barbe mal rasée.et toi qu'en est-il avec la jolie blonde ? car si sane va pas moi elle m'intéresse bien; mûre, forme armonieuse, les yeux bleus, joli cheveux, un parfum ... qui laisserais sans voix même le plus riche et heureux des hommes mais elle a l'air d'avoir son caractere, ce qui ne devrai pas être si désagréable au lit. je me laissais emporté dans mon souvenir de cette fille en sous vêtements en dentelles ... mmm qu'il serais agréable de.Bam un violant coup de poind venait de se confronté sur le bois dur et sombre dur bar.mmm alors j'en conclu que sa y est mon petit garçon a fino par conclure, il est devenu un homme a l'âge de ... 20 ans il est tard non ? qu'en a t'elle dit de se coup de reins débutant ? plutot fort ?! je ne pu m'empecher de ricané a l'insistance d'Hugo.

Il le fixa longtemps avant de retrouver ses mots. Je t'interdit de reparler d'elle. Sa voix était sombre et nette même s'il savait bien que c'était le genre de chose qui n'allait pas impressonner son putain père. Il décida de se calmer et ajouta: Je ne pourrai donc jamais avoir une conversation normale avec mon père? Je ne sais même pas pourquoi je t'appelle encore comme ça, tu ne l'a jamais été. Mais putin qu'est ce que ça t'a apporté? T'es heureux maintenant? Tu as bien commencé ta journée? T'es un salaud, c'est pour ça que tu ne trouvera jamais de femme. C'est quoi ton but? Maintenant que tu m'a trouver, pourquoi tu reste ici? Il recula et l'observa avec méprit.

je pris au dépard ses paroles pour des paroles facile, celle qui sorte comme sa sans vraiment avoir a réfléchir mais apres, en l'ayant écouté jusq'au bout... je compris que ces paroles n'étaient pas là par hasard... une femme murmurais-je une femme... je me parlais a moi même sans plus me soucier d'Hugo ni des autres d'ailleurs, j'étais à présent seul plongé dans mes penssées, plonger dans mon passé...

Il ne répondit pas et Hugo fut étonné de ne pas le voir riposter. Pendant une seconde, il parut lointain puis avala son verre de wisky, paya et partit sans rien ajouter. Eh attends! C'était quoi ça?

Il m'intéromp alors je j'avais la main sur la poignée de porte glacée, je m'appretais a la tourné pour pouvoir quiter la ville peut etre même ce monde mais ... il faut qu'il sache. Alors je m'arreta, réfléchi un instant et fini par faire demi-tour pour me r'assoire sur le tabouret du bar. Donne moi un autre verre que j'évite la souffrance !il s'exécuta. Quand tu dit que je ne trouveras jamais de femme qui me convienne, tu as raison, je n'en retrouverais jamais d'autre comme elle...elle était si parfaite ! et il a fallu que je la tue ! j'avais prononcés ses mots avec rage.

Il essaya de recoller les morceaux, un par un. Est-ce que c'est... maman?

non ta mère était comme les autres, une femme désespérée qui n'attendais qu'une chose baiser avec un inconnu du moins c'est se que je croyais car elle n'a plus voulu me lacher et nous avons fais des goss puis je suis parti et t connais la suite. Non c'elle que je te parle est unique, nous étions bien trop jeune et pourtant nous l'avons fais ... c'était l'amour de ma vie, je lui ai tout donné ! mais elle était d'un autre pays et ses parents étaient des terroristes, alors tu pensses bien que l'amour était impossible... elle s'appelait Ambre, et elle avait un visage d'ange que nule ne pouvaient oublier. Un jour alors que nous nous étions retrouver en cachette dans un parc, des gens m'ont suivis et ils l'ont amené elle et sa famille dans un camps de militere pour les éxécuter alors que moi j'étais enchainer pour avoir traï mon pays. Depuis ce jour, je me suis juré de la venger et c'est se que j'ai fais ... un sorire maquiavélique s'instala sur mon visage.

non, j'ai fais pire ... il en savait trop, je devais partir maintenant.

Quoi? T'as fais quoi? Hugo était pris dans l'histoire, ne s'étant pas apperçut que les clients étaient tous partis.

Quoi? Tu va pas me planté là! Dis le moi. Et voila qu'il le suppliait maintenant...

ce ne seras pas la premiere fois que je te plante seul, mais ce ne seras certainement pasl a derniere non plus ! je pris mes affaires et parti sous la pluie qui avait finie par inondé la cours de pavés.