Willem Bass.
Messages : 40 Date d'inscription : 07/09/2010
| Sujet: Le retour du fourbe. Mar 13 Sep - 21:01 | |
| Mon taxi s'arrêta sur la place de Crosshill, je n'étais pas venu ici depuis bien longtemps, la derniere fois mon fils fesait sa vie avec cette petite blondasse. Le connaissant, il avait déjà trouvé une autre fille avec qui jouer. Le chauffeur me donna sa note, je payais et sorti du petit taxi Londonien car oui, je revenais de Londre et non des Etats-Unis comme prévu. Il était presque 8h, le ciel changeait de couleur se couvrant de rose et de rouge. Les seuls nuages apparessant étaient devenus mauve foncer et bientôt, le soleil disparaisserait à l'horizon. Ma grosse valise a la main, regardant autour de moi le vieu manoir aux allures de ville fantôme avec ses fenêtre baricadées a l'étage, ses pavés et briques sortis de leur gond et le vieu chêne où le vent s'engrouffrait et le tronc creu où chaque journée, un Hibou venait s'assoupir à l'abris des rayons du soleil. De la grand place, on ne pouvait appercevoir les toit de Crosshill mais en revanche, on avait axect a toute les petites boutiques tenues par ces ... enfants. Hugo tenait le café, celà lui ressemblait bien, coureur de jupon, il pourrait souler a volonter ces jeunes demoiselles inconsientes et exubérante. Je regardais a gauche, puis a droite, rien, personne, aucune âme n'était a disposition. J'étais seul. J'inspirais profondémment l'oeil avive je devais désigner ma premiere victime. Personne ne se doute de mes intentions, personne ne connait mon passé, personne ne connait mon secret et pourtant, c'est a partir de ce jour que vous apprendrez tout de moi mais sans doute trop tard. Mon plan était établit, rien ni personne ne pourrait le déjouer comme 10 ans au paravent jour pour jour tout allait s'écrouler sans que personne ne comprenne se qu'il s'est passé, effondrer devant le cadavre des familles. J'étais là pour une unique raison: Survivre. Je repris ma valise, me dirigeais vers l'hotel pour louer la chambre 11, celle où tout avait commencer et où tout ce terminerais. Au loin le clocher sonna, huit coups indiquaient l'heure. Nous étions le 11 septembre et tout allait reccommencer. [ Mise en bouche pour les intéressés de mon secret ... ] | |
|