Il tournait dans les environs 4 heures du matin, quand je monta les marches les mains pleines de tissus que j'avais récupéré 2 heures plus tôt. Un long voyage éprouvant a travers l'écosse inconnue tout sa pour trouver du tissus rare pour créé des tenues de soirée qui vaudrais surement tres chers apres la confection. Dans le couloir, le silence était a son comble, aucun bruit, aucun sauf quelques ronflement par-ci et quelques parole de someil par là. Une nuit normal, avec quelques courant d'air froid qui passais par dessous les porte. J'avanca le long du couloir, essayant de ne pas faire de bruit, comme il faisait froid j'avais enfillé un jeans troué et des basquettes bleue avec quelques motif et un gilet avec la même couleur et les même motif, la capuche mise sur la tête pour se protégé du vent froid, l'automne arrivait. Je passais devant les chambres 10 et 11 tout en silance quand j'arriva devant la chambre 12 celle d'Hugo un grand coup qui me fis sursauté et dont bien évidemment, j'avais laché ma prise et le tout tomba sur le sol en un grand fraca.Hé merde mais qu'elle conne ! je réunissais mes affaires comme je pu ,quand des pas de deriere la porte 12 arriveres vers moi. La poignée se tourna lentement pour ne pas faire de bruit, la porte s'ouvrit et Hugo ma dévisagea.Hum ... excuse moi j'ai eu peur je lui souris et vis que quelque chose n'allais pas. Hugo ... dis-je a voix basse, tout va bien ? Une lueur de rage dans ses yeux. Etais-ce de ma faute pour qu'il sois si en colère ? Avais-je été aussi jbruyante que celà ? m'en voulait-il pour se que j'avais fais ? sur ce point je le comprenais je n'avais pas été tout a fais juste, c'étais la premiere fois pour moi que je réagissais ainsi avec lui, je n'aurais pas du mais dans le fond ce n'étais que de la légitime défence... Voyant qu'il ne me répondi pas, je repris en mains mes tissus, j'étais déssues abrutie par sa colère contre moi, je n'aimais pas ça, je regrettais, mais c'étais certainement trop tard ... j'ouvris ma porte me retourna une derniere fois, une larme me coulais sur la joue, je fermais les yeux. C'étais définitivement trop tard il ne voudra plus de moi j'avais gaché ma derniere chance, j'en paillerais les pots cassé. Adieu mon amour penssais-je, tu ne voudra plus jamais me parler et pourquoi pausé tes yeux sur moi si ce n'est que pour me torturé. j'entra dans ma chambre, poussa la porte avec mon pied.